Discours de notre bien-aimé et bien en chair président lors des lilas blancs 2003

 

Apocienne, Apocien,

Loguivy canotienne, loguivy canotien,

Bande de petites fiottes,

Bonsoir.

Comme dirait mon homologue paimpolais :

« Que les femmes soient nues, qu’elles se jettent sur moi, qu’elles m’arrachent ma vertu. »

Nous sommes réunis cette année encore pour décerner le trophée qui est à  la plaisance costarmoricaine ce que les oscars sont au cinéma, la mayonnaise à la langoustine ; Laurel à Hardy, le chanvre à la feuille d’OCB, François HERVE aux BEATLES, je parle bien sur du célèbre Talon d’or. (Trophée remis pour le plus beau talonnage de l’année).

Sa déjà longue histoire a débuté dans les mains d’un grand champion du talonnage, à la moustache folle, le doigt levé vers l’Angleterre et le cul posé sur une grosse caisse : Alain Menguy.

Cet athlète du Poc, ce virtuose du rase caillou l’a conservé 2 années de suite.

Il a été détrôné par celui n’a plus beaucoup de plomb sur sa quille et n’e s’en est pas mis pour autant dans la tête, la tignasse folle et une énorme gueule : Hervé Eliès.

Une grande gueule je disais mais également un grand cœur. Car Hervé me disait encore tout à l’heure, qu’exceptionnellement et pour vous tous présents ici il accorde une remise de 30, non 50 non 60% dans tout le magasin à TREGUIER.

Qui succédera à ces beaux champions ?

Il n’y a que l’embarra du choix. Pas moins de 20 talonnages ont été recensés par nos experts. En voici la liste.

Et j’appelle les grands vainqueurs de l’année qui avec leur Neptune n’hésitent pas à faire un détour pour aller tester la rigidité d’une nouvelle roche : Alan et Erwan.